Très mal lotis depuis une trentaine d’années au sein de la plage d’Ain Brahim, une douzaine de familles, résidentes au sein du lieu, lancent un appel par le biais du journal au wali, pour les aider à mettre un terme au calvaire qu’elles endurent. Ces familles occupent des maisons de fortune, dont certaines menacent ruine faute de réhabilitation, d’autres squattent des centres de vacances, ces dernières se disent exclues de toute aide financière à l’aménagement de leurs taudis occupés, de par leur présence sur une zone d’extension touristique. Lassés d’attendre et de vivre de promesse en promesse, ces familles sollicitent l’attribution d’un quota de logements sociaux et en attendant l’amélioration du cadre de vie où elles évoluent, elles se plaignent de l’absence de la collecte des ordures ménagères et de moyens de transport public desservant le lieu, si éloigné du village.