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Gourmi et Zerdab devaient rencontrer hier soir Kaci Saïd

Gourmi : «Comment peut-on me libérer à une semaine de la fin du mercato !» Zerdab : «On ne libère pas un joueur qui s’est blessé en compétition officielle et qui est en convalescence»

Khaled Gourmi et Zahir Zerdab, qui étaient de retour hier au pays, devaient rencontrer le soir-même Kaci Saïd en présence de leur manager afin de trouver à leur tour une solution qui arrange les deux parties.

Mokdad devra s’entraîner avec l’équipe réserve
Mokdad, lui, à qui on a proposé une prolongation de contrat et un prêt par la suite au MOB, a refusé cette proposition, et s’est vu remettre hier une notification de la part de la direction du club pour aller s’entraîner avec l’équipe réserve comme cela a été le cas lors de la phase retour de la saison passée.

La direction du club ne compte pas revoir la liste des joueurs libérés
De son côté, la direction du club est prête à négocier avec tous les joueurs qui sont portés sur la liste des éléments à libérer, mais elle n’est pas prête à revenir sur sa décision de procéder à la révision de la liste des joueurs à libérer, en étant décidée à avoir recours à toutes les mesures nécessaires pour protéger les intérêts du club.
 

Gourmi : «Comment peut-on me libérer à une semaine de la fin du mercato !»
Khaled Gourmi, qui était de retour au pays, a été surpris de voir son nom sur la liste des joueurs à libérer. Il dira : «Je suis vraiment surpris, car jusqu'à preuve du contraire personne ne m’a informé de ma libération. Je pense qu’il est inadmissible qu’on libère un joueur à une semaine de la fin du mercato, où tous les clubs ont pratiquement bouclé leur recrutement».

Zerdab : «On ne libère pas un joueur qui s’est blessé en compétition officielle et qui est en convalescence»
Contacté par nos soins, Zerdab nous dira : «Oui, je suis au courant qu’on a procédé à ma libération et je suis de retour pour trouver une solution à l’amiable. Mais il faut savoir qu’on ne libère pas un joueur qui s’est blessé dans une compétition officielle et qui est en période de convalescence.»

«Si on veut me libérer, qu’on me donne quatorze mois de salaire»
Toujours dans le même sens, Zerdab est prêt à partir à condition qu’on lui paye des indemnités. «Si on veut me libérer qu’on me paye les quatre mois de salaire qui me reviennent de droit, ainsi qu’une année de contrat qui me reste avec le club. Je tiens donc à ce qu’on me donne quatorze mois de salaire si on veut une résiliation de contrat d’une manière unilatérale.»
 

K. M.