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Le géant pétrolier anglo-néerlandais Shell a annoncé hie avoir bouclé la vente des 50% qu’il possédait dans la coentreprise de pétrochimie Sadaf, pour 820 millions de dollars, rachetée par son partenaire saoudien Sabic. Le groupe a expliqué dans un communiqué que les autorités de régulation des différents pays concernés avaient donné leur feu vert à cette opération, annoncée le 22 janvier de l’année en cours. Cette coentreprise a été créée il y a de plus de trente ans par Shell et le groupe saoudien Sabic. Basée à Jubail sur le littoral du Golfe Persique (est de l’Arabie Saoudite), Sadaf comprend six usines pétrochimiques qui produisent au total plus de 4 millions de tonnes par an de produits divers. «Cette acquisition permettra à Sabic d’optimiser les opérations de Sadaf et d’investir davantage dans ses usines, en les intégrant à l’ensemble de ses activités», a expliqué Shell. La major pétrolière anglo-néerlandaise a ajouté que, de son point de vue, cette transaction «lui permettrait de mieux concentrer ses activités dans l’aval et d’investir de façon ciblée de façon à soutenir la croissance de son activité chimique mondiale».   Des restrictions imposées au Qatar par ses voisins commencent à avoir des effets négatifs sur l’économie de ce petit émirat gazier du Golfe, mais celle-ci est pour l’instant assez solide pour résister, assurent des analystes. Le 5 juin, l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis et Bahreïn ont rompu avec le Qatar, accusé de «soutenir le terrorisme» et de se rapprocher de l’Iran, grand rival régional de Riyad. «On n’a pas senti une grande différence», assure Mohamed Ammar, chef d’entreprise et conseiller à l’Association des entrepreneurs du Qatar (QBA), sans exclure des effets «à moyen terme ou long termes». Pour Rachid ben Ali Al Mansouri, PDG de la Bourse du Qatar, le pire est passé. La deuxième place financière du Moyen-Orient a perdu plus de 7% le 5 juin et presque 10% en trois jours avant de se reprendre et fluctuer désormais à environ 6% sous son niveau pré-crise. Le marché a été «surpris» et a réagi «comme n’importe quel marché», explique-t-il, assurant que «la confiance des investisseurs» est «toujours là».   La dette des ménages américains a dépassé à la fin du 2e trimestre son précédent record établi au 3e trimestre 2008, a indiqué l’antenne de New York de la Banque centrale américaine (Fed). A 12 840 milliards de dollars à la fin juin, cette dette dépasse le précédent sommet de 12 680 milliards de dollars établi à la fin du 3e trimestre 2008, indique la Fed de New York, soit au moment du déclenchement de la crise financière des Subprimes. Elle est en augmentation de 114 milliards (+0,9%) par rapport au 1er trimestre et de 15,1% supérieure à son nadir atteint au 2e trimestre 2013. L’essentiel de cette dette est composé de prêts hypothécaires (8690 milliards de dollars, en hausse de 64 milliards sur le trimestre). Les crédits assis sur la valeur des biens immobiliers (Home Equity Line of Credit - Heloc) arrivent en deuxième position dans cette catégorie à 452 milliards de dollars (-26 milliards de dollars). La Fed précise que les crédits automobiles ont progressé de 23 milliards de dollars à 1190 milliards et les créances sur carte de crédit de 20 milliards à 784 milliards de dollars au 2e trimestre, soit le plus haut niveau pour ces dernières depuis le 4e trimestre 2009. Les prêts étudiants sont restés stables à 1340 milliards de dollars.


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