Qui cherche à assassiner l’ex-bras droit de Kadhafi pour le faire taire ?



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Par Karim Bouali – Algeriepatriotique a appris de sources sûres que l’ancien bras droit de Mouammar Kadhafi, Béchir Salah Béchir, a été attaqué par cinq individus à Johannesburg. Il se trouve actuellement à l’hôpital, indiquent nos sources, qui révèlent que le frère de la victime accuse l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, de «vouloir faire assassiner» ce témoin gênant, après avoir concouru à l’exécution du guide de la révolution libyenne.

D’autres sources pointent du doigt des cercles au sein du pouvoir sud-africain, qui détiendraient de grosses sommes d’argent que le régime libyen aurait gardé en Afrique du Sud pour éviter que les milices s’en accaparent au moment des affrontements entre l’armée libyenne et l’opposition armée soutenue par la France et la Grande-Bretagne.

L’affaire des financements d’hommes politiques occidentaux a refait surface suite au témoignage d’un ancien proche collaborateur de Mouammar Kadhafi, qui a révélé qu’un candidat à la présidentielle américaine avait reçu la somme de cinq millions de dollars en contrepartie d’un dégel dans les relations entre la Libye et les Etats-Unis au cas où il serait élu à la Maison-Blanche. La source libyenne a précisé que les Libyens avaient exigé en contrepartie de ce financement, le retrait de la Libye de la liste des pays qui soutiennent le terrorisme.

La même source a dévoilé la complicité des Frères musulmans libyens avec les Etats-Unis dans le détournement des avoirs libyens qui se trouvent dans des banques américaines.

L’agression de l’ancien bras droit de Kadhafi en Afrique du Sud est la preuve que la page des financements secrets est loin d’être tournée. Le retour du fils de Kadhafi, Seïf El-Islam, à l’action politique, après qu’il fut emprisonné et réclamé par les juridictions internationales pour y être jugé, pourrait participer des manœuvres d’officines occidentales qui cherchent coûte que coûte à étouffer l’affaire. Il n’est pas exclu qu’un accord ait été passé avec le probable futur président de la Libye pour éviter qu’un scandale d’envergure internationale éclate et éclabousse des dirigeants de pays occidentaux et crée une série de crises politiques au sein de ces Etats.

K. B.


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