RESPECT DES DROITS DE L’HOMME

L’Algérie, vivement saluée par les USA



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N’en déplaise à certaines organisations non gouvernementales et autres lobbys à la solde de forces occultes, qui ne cessent de critiquer la situation des droits de l’Homme en Algérie, le département d’état américain, vient de saluer vivement dans son rapport de l’année 2017, les efforts déployés par les pouvoirs publics, en faveur des migrants qu’elle accueille, depuis tant d’années, et également du strict respect des droits de l’homme, garantis totalement par la Constitution , sans la moindre violation. Le département d'Etat a, dans son rapport annuel 2017 sur les droits de l'homme, salué les efforts de l'Algérie en faveur des réfugiés qu'elle accueille sur son territoire contredisant ainsi les critiques de certaines organisations humanitaires à l'égard de l'Algérie notamment celles d'Amnesty International l'accusant de non respect des droits des réfugiés. En effet, le document met  en avant la protection apportée par l’Algérie aux milliers des réfugiés sahraouis, en indiquant que le gouvernement a augmenté son soutien aux sahraouis pour parer aux conséquences de la baisse de l’aide des donateurs internationaux. L’Algérie offre également une protection contre l’expulsion des réfugiés, menacés dans leur pays d’origine. Le département d’Etat qui cite des observateurs internationaux a reconnu que depuis le début des violences au Mali en 2012, "l’Algérie a fait face à des flux de migrants incompatibles avec les mouvements migratoires traditionnels".  Les Etats-Unis d'Amérique soulignent le respect de l’intégrité des personnes et des libertés individuelles en Algérie tout en mettant en avant les mesures prises par le gouvernement pour promouvoir les droits de l’homme. Ce  rapport relève que l’Algérie n’a enregistré aucune privation arbitraire de la vie ou de crimes pour des motifs politiques. De même aucune disparition ou condamnation pour torture n’a été signalée durant la période sous revue. Le département d’Etat rappelle, à ce titre, que la loi algérienne interdit la torture et prévoit des peines d’emprisonnement allant de 10 à 20 ans pour les agents publics reconnus coupables de torture. S’agissant des conditions dans les prisons et les centres de détention, la 42éme  édition de ce rapport affirme, qu’elles ne soulèvent pas de préoccupations en matière de droits de l’homme. Le gouvernement a en effet consacré des centres de détention spécifiques aux prisonniers âgés de moins de 27 ans. Selon le même rapport, la surveillance indépendante des prisons est assurée en Algérie. A ce titre, le gouvernement a autorisé le Comité international de la Croix-Rouge et des observateurs locaux des droits de l’homme de visiter les prisons et les centres de détention où les conditions carcérales sont conformes aux normes internationales, indique le département d'Etat. Le rapport met en exergue la création d’un bureau chargé des droits de l’homme auprès de la DGSN et dont l’une des missions qui lui sont assignées est l’amélioration des conditions de détention. Par ailleurs, ce rapport présenté par le secrétaire d’Etat par intérim, M. John Sullivan, affirme que les libertés individuelles, y compris la liberté d’expression et celle de la presse, sont garanties en Algérie, relevant aussi que la constitution consacrait la liberté de la presse, alors que "les débats publics et les critiques des médias à l’égard du gouvernement, largement répandues", sont tolérées.


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