Le ministre de la Santé a pesé de tout son poids dans la non-organisation d'une session de rattrapage au profit des résidents. Les résidents en dernière année ayant échoué payent ainsi leur adhésion au mouvement de boycott. Le département de la santé a tout fait pour convaincre les responsables des comités pédagogiques de l'impossibilité d'offrir une dernière chance aux résidents.