Rencontre autour du film à Constantine.. «El Boughi» passera à la télévision



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«L’harmonie entre les équipes technique et artistique a contribué à insuffler l’esprit du film «El Boughi», écrit par Saïd Boulmerka et réalisé par Ali Aïssaoui», a affirmé samedi à Constantine, le réalisateur de cette œuvre cinématographique.

Au cours d’une conférence de presse réunissant plusieurs artistes et un représentant de l’office national des droits d’auteur et des droits voisins (ONDA), à la Maison de la culture Malek Haddad, Ali Aissaoui a indiqué que «l’accomplissement du film ‘El Boughi’ est une victoire et une fierté pour les artistes qui y ont concouru ainsi que pour la ville de Constantine, où se déroule la trame de l’histoire après être resté au fond d’un tiroir pour différentes raisons». Le réalisateur connu pour ses émissions sur le théâtre diffusées autrefois par la télévision algérienne a ajouté que «cette nouvelle œuvre, qui devait être programmée samedi en fin d’après-midi, dans la salle de projection de la Maison de la culture Malek Haddad, regroupe des artistes connus pour leur grand potentiel dans le domaine, à l’instar de Bahia Rachedi, Antar Hellal et Hassan Benzerari en plus de novices ayant interprété un rôle pour la première fois, à l’image du chanteur Abbas Righi».

Une bonne experience
«Ce film, dont la projection en avant-première a eu lieu le 12 avril 2016 à l’occasion de la clôture de la manifestation Constantine, Capitale de la culture arabe 2015, après 51 jours de tournage, sera bientôt présenté sous forme d’une série télévisée de 7 épisodes d’une durée de 30 minutes chacun», a-t-il détaillé. De son côté, l’actrice Bahia Rachedi, qui interprète le rôle de la mère de la star du film, a indiqué que «le parler constantinois» n’a jamais constitué pour elle un obstacle, reconnaissant que c’était «un défi» qu’elle a réussi à relever avec l’aide des artistes de Constantine.
Dans ce même contexte, le chanteur de malouf Abbas Righi a lui aussi fait part de «sa crainte préalable de ne pas pouvoir être à la hauteur de cette expérience du fait d’être avant tout un chanteur ne sachant pas comment se comporter devant les caméras», ajoutant que les artistes impliqués dans cette œuvre l’ont aidé et lui ont permis de surmonter ses appréhensions et son trac. Il a relevé, par ailleurs, que cette expérience est pour lui «un acquis important», car elle lui a permis de côtoyer et jouer un rôle avec de grands acteurs et d’apprendre à les connaître en dehors des plateaux de tournage.

Une belle histoire d’amour
Cet avis a été partagé par d’autres acteurs tels que Allaoua Zermani, Noureddine Bechkri et Sabrina Boukria, qui ont souligné que le film «El Boughi» représente pour eux «un vrai plus» dans leur parcours artistique. A noter que ce film, qui met en vedette Abbas Righi dans le rôle de «Saad Djaballah» et Sara Laâlam dans celui de «Nedjma» sera projeté pendant plusieurs jours consécutifs à la Maison de la Culture Malek Haddad, avant d’entreprendre une tournée à travers le pays.
Le film «El Boughi», pour rappel, relate une triste histoire d’amour impossible entre Saad Djaballah, un poète annabi et la belle Nedjma de Constantine.
APS


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