Ph.DR
Un scénario sans précédent, aucune candidature à la magistrature suprême du pays pour l'élection du 4 juillet prochain. Une situation non prévue par l'actuelle Constitution. Ils étaient pourtant 77 à déposer leurs lettres d’intention dont trois chefs de partis, à savoir Belkacem sahli de l’ANR (Alliance nationale républicaine), Abdelaziz Belaid du Front El-Moustakbel et Tayeb Yenoune du Front pour le Développement la liberté et l’équité. Le Conseil constitutionnel devra se réunir sous la présidence de Kamel Feniche pour statuer sur l’annulation de la présidentielle. Des décisions doivent être rapidement prises pour pallier à cette impasse constitutionnelle.