GREFFES D’ORGANES

170 opérations dont 163 rénales effectuées en 2019



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En dépit d’efforts remarquables des professionnels de la santé, la transplantation ou greffe d’organes a encore du mal à se développer au regard des besoins urgents et vitaux des malades. Les traditions, croyances et diverses appréhensions, conjuguées à d’autres difficultés liées aux conditions de travail, demeurent un frein à apporter les solutions idoines. Depuis au moins près de vingt ans, le professeur Tahar Rayane, chef de service de Néphrologie, Dialyse et Transplantation rénale au CHU Naffisa Hamoud (ex-Parnet) d’Hussein Dey et président élu du Conseil scientifique de l’Agence nationale de greffe d’organes et des tissus, poursuit ses appels à la sensibilisation de l’opinion publique sur l’importance du don d’organes. Invité ce 17 octobre à l’occasion de la journée mondiale du don d’organes et de la greffe, il souligne de nouveau « la pénurie d’organes ». Lors de  son passage ce matin à l’émission l’invité de la rédaction  a fait savoir qu’actuellement « la loi nous permet en effet de prélever des organes sur des personnes vivantes, mais les prélèvements post-mortem ne sont font toujours pas ». Il se félicite, cependant, d’un seul cas pratiqué à l’hôpital militaire de Constantine où, après la constatation de « la mort cérébrale, il a été permis la pratique du prélèvement sur la personne décédée et qui a permis de sauver deux personnes  dialysées dont un suivi chez-nous, et qui va très bien, et l’autre a été greffé à Batna, plus un autre patient qui a reçu un foie à Constantine».   


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