L’assemblée générale de l’APC de Chlef n’a pu se tenir, mardi dernier, à cause de l’opposition de certains élus qui ont mis en avant le non-respect de l’article 21 du code communal. Celui-ci stipule que «les convocations sont remises, accompagnées du projet de l’ordre du jour, par pli porté aux membres de l’Assemblée populaire communale, à domicile, dix jours francs au moins avant la date d’ouverture de la session, contre accusé de réception». Or, selon des sources très au fait du fonctionnement de l’APC, ce report est dû plutôt à la «résurgence d’un conflit latent entre les élus», ajoutant que certains d’entre eux voudraient «opérer un changement dans l’exécutif communal». En tout cas, l’ajournement de l’assemblée générale, qui devait traiter d’un certain nombre de sujets socioéconomiques, n’a pas été du goût du wali de Chlef. Il a fait part, hier, de son mécontentement devant deux vice-présidents de l’APC, lor...