Abderrezak Mokri voit dans le projet de révision de la constitution une façon de « détourner l’attention », de « régler les problèmes internes » et de faire « briller l’image du système à l’étranger ». « Il semble que le système politique reste fidèle à ses vieilles méthodes qui font qu’il n’y ait pas d’endroit pour régler les affaires publiques […]......