À Ghardaïa, cinq jours après l’horreur



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Dimanche 12 juillet. Cinq jours après les violences qui ont fait 25 morts, la région peine à renouer avec une vie normale. La route qui mène de Berriane vers Guerrara, est vide. Sur plusieurs dizaines de kilomètres, nous ne rencontrons aucun véhicule. « Si on ne voit personne sur la route, c’est qu’il y a un problème », s’inquiète Mohamed, notre accompagnateur.

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Soudain, une Toyota Hillux arrive en face. Son conducteur fait signe de la main, puis appel de phare comme pour transmettre un message. Lequel ? Mohamed ne sait pas quoi faire. Il nous interroge : « Qu’est-ce qu’on fait ? On continue ? On fait demi-tour ? ». Puis un véhicule utilitaire Iveco, nous double à vive allure. Mohamed est rassuré. « Il va nous ouvrir la route », lâche-t-il. Il accélère. La vue d’une 404 bâchée, au loin, en train de quitter la chaussée pour emprunter une sorte de piste le replonge dans ses craintes

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