Fermeture des tabacs journaux pour lutter contre le COVID-19

Les vendeurs à la sauvette de cigarettes se multiplient à Sidi Bel Abbès



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Les vendeurs à la sauvette en tout genre se multiplient (cigarettes, tabac à chiquer, cartes de recharge téléphoniques…) depuis la fermeture des bureaux tabac et autres commerces de cosmétique à Sidi Bel Abbès en raison de la propagation du Covid-19.

Au début, seuls quelques téméraires vendeurs de cigarettes à la sauvette avaient osé pointer le nez en pleine rue en trimballant leur marchandise dans des sacs à main et autres sacs à dos. Mais depuis quelques jours, la tendance s’est généralisée avec la recrudescence des descentes policières dans les points de vente de cigarettes et autres buralistes ayant bravé l’interdiction stricte d’exercer leur activité. Justifiant ces mesures restrictives imposées aux tabacs journaux par la nécessité de préserver la santé des citoyens, les services de police ouvrent cependant la voie à une pratique, à priori difficile à juguler, qui n’offre aucune garantie sur l’origine des produits proposés.

Les accros à la nicotine n’ont donc d’autre choix que d’aller s’approvisionner auprès des vendeurs à la sauvette, qui font désormais partie du décor, et à leurs risque et périls. Pour de nombreux buralistes de la ville de Sidi Bel Abbès, le recours à la fermeture de leurs commerces ne fait que déplacer le problème lié à la santé des clients. «Une meilleure organisation du circuit de vente avec des préventions strictes aurait largement suffi au lieu de fermer des centaines de commerces tout en encouragent le marché informel», explique un gérant d’un magasin de tabac gérant au chômage forcé depuis dix jours.


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