L’adage «tel est pris qui croyait prendre» sied parfaitement à la situation née du document sonore qui met en cause deux personnes pour l’instant.
Le directeur général de la SSPA / Blacks Eagles (ES Sétif) et un proche de la FAF et de la LFP, Nassim Saadaoui, qu’inexplicablement les deux instances n’ont pas jugé utile de convoquer et d’entendre comme l’a fait la LFP pour le dirigeant sétifien.
Pour rappel, ce dernier a déposé plainte à Sétif et Alger contre ceux qu’il qualifie de «commanditaires du faux montage sonore» qui l’incrimine. Il y aurait de nouveaux éléments dans l’affaire qui mettent en cause une dizaine de personnes.
L’agent de joueurs est directement visé dans la plainte déposée par le manager général de l’ES Sétif. Il a confié le dossier aux bons soins des juridictions judiciaires de Sétif et d’Alger et des experts de la cybercriminalité.
Il faut s’interroger sur les raisons qui ont poussé la Fédération et la Ligue à ne pas se constituer partie civile. Certains évoquent une affaire de transfert à l’étranger du jeune Boussouf qui aurait été utilisée comme arme de chantage contre la direction du club par des intermédiaires véreux.