Ces lieux pas concernés par la pandémie !



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La communication est-elle réellement encadrée par un corps médical qui s’est familiarisé avec les graphiques qui lui sont soumis ou que lui seul trace en fonction des rapports qui lui sont adressés par les structures sanitaires exposées au virus ? La réalité du terrain serait confiée à un corps médical qui baisserait les bras parce qu’il ne disposerait pas de tous les moyens techniques, matériels et humains qui lui permettraient de lutter efficacement contre un coronavirus qui ne s’embarrasse de rien et contamine à tout va, face à une situation embarrassante pour qui voudrait en finir avec, sans se ruiner. 
On se dit que mettre au repos son ordinateur durant quelques jours va permettre de s’aérer. Que nenni ! Entre ces lieux dont le méchant virus ne semble pas avoir franchi la frontière et ces autres où l’on vous incite à aller vous faire vacciner pour enrayer les formes graves de ce dernier, je n’aurai pas eu, vraiment, le temps de me déconnecter. C’est la peur, en vérité, qui empêche de décrocher totalement et interpelle les paradoxes. Voilà pourquoi  j’ai, vainement, cherché les informations qui infirmeraient les miennes. Mais j’ai buté contre une réalité dont on use, généralement, pour vous rouler dans la farine. Entre ceux qui tirent la sonnette d’alarme et ceux qui se fichent totalement des recommandations qui leur sont faites, il y a de quoi sérieusement s’interroger. Je disais, hier, que tout le monde n’était pas soumis aux mêmes restrictions. Je pensais que, lorsque l’on ordonnait aux restaurants de baisser le  rideau pour réduire les risques de contamination, on le faisait pour tous les restaurants. Ce n’est absolument pas le cas. Au moins pour l’un d’entre eux. Même si depuis la confession de l’un des serveurs, j’ai compris qu’ils étaient quelques-uns à n’être ni concernés ni inquiétés par ladite instruction. À Tipaza, nous avions l’air plutôt décalés avec nos bavettes et notre gel hydro-alcoolique. Les confidences, il ne nous les a pas faites au creux de l’oreille. Il nous a raconté ses journées sur un ton tout à fait décontracté. Peut-être m’aurait-il parlé autrement s’il s’était douté de ce que j’allais en faire aujourd’hui ?
M. B.

 


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